Portrait : Bramsito, de « Sale Mood » avec Booba jusqu’à Prémices

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Extrait :

En fier représentant de la musique urbaine, Bramsito dévoile avec Prémices l’étendue de son potentiel. Rencontre.

C’est près d’Orléans, et plus précisément à Pithiviers que vit Bramsito, artiste émergent évoluant sous l’aile de Booba et son label fraîchement créé, 7 Corp. Celui-ci sortait au début de mois son tout premier album, Prémices, un condensé de 16 morceaux, d’un genre qu’il définit comme de la « musique urbaine ».

Pour le jeune compositeur et interprète, tout commence à 14 ans, lorsqu’il se découvre une passion pour la musique à travers sa pratique du piano. En découlent alors des influences multiples, du foyer à la cour de récré’, allant de Pascal Obispo à Charles Aznavour, en passant par Drake et Tabu Ley Rochereau (le père de Youssoupha).

Aujourd’hui, ce sont des titres comme « La Bohème » ou encore « Oh Marie » qu’il a repris pour se faire connaître sur la Toile, toujours autant marqué par les morceaux de son enfance. Grâce à ce procédé particulier, par lequel il parvient à remettre au goût du jour d’anciens morceaux et leur apporte une touche urbaine, Bramsito s’est vite fait repéré par le nouveau label de Booba, juste avant l’arrivée de Dixon dans l’écurie du duc. C’est en écoutant Drake et Kendrick Lamar, deux grands utilisateurs du sample, qu’il s’est imaginé rafraîchir ces titres mythiques.

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